Ce que nous avons perdu dans le feu, 2022, exposition collective, Villa Arson, Nice, FR (Fireplace, 2022)
Ce que nous avons perdu dans le feu, 2022, exposition collective, Villa Arson, Nice, FR (A Truly Shared Love, 2021)
génériq, 2021, exposition personnelle, 22,48 m2, Paris, FR (A Truly Shared Love, 2021)
Around Video, 2021, exposition personnelle, Hôtel Moxy, Lille, FR (A Truly Shared Love, 2021)
Great Stories Start Here, 2019, exposition personnelle 22,48 m2, Paris (b0mb, 2018 and Untitled, 2019)
Me, Myself and I, 2019, exposition collective, Biennale de l'image possible, La Menuiserie, Liège, BE (sextape, 2018)
You should only have eyes for me, 2018, exposition personnelle, Villa du Parc, Annemasse, FR (c) Aurélien Mole (b0mb, 2018)
Collapsing New People, 2019, exposition personnelle, La Chaufferie, HEAR Strasbourg, FR (c) Antoine Lejolivet (b0mb, 2019; Fireplace, 2019)
You should only have eyes for me, 2018, exposition personnelle, Villa du Parc, Annemasse, FR (c) Aurélien Mole (Sextape, 2018)
A truly shared love, 2018, vidéo UHD, 4’ 30’’, produite par La Villa du Parc, Annemasse / UHD video, 4’ 30’’, produced by La Villa du Parc, Annemasse
Ô Boulot, 2018, exposition collective, MAIF Social Club, Paris, FR (c) Marie-Amélie Tondu
b0mb, 2018, site web, vidéo générative en ligne, 9’ 58’’
Return of the Broken Screens (détail), 2015 - en cours, installation, vidéos, écrans détériorés, durées et formats variables
Oasis Max Life, 2016, tablettes, téléphones, mousse florale, socle en métal, câbles USB, chargeur USB, vidéos, 40 x 40 x 50 cm
Quickening, 2017, exposition personnelle, 22,48 m2, Paris, FR (Oasis Max Life, 2016 et Lightning Ride, 2017)
Nakamoto (the proof), 2014 - 2018, impression pigmentaire sur feuille backlit, scanner HP N6350, leds, texte sur papier / pigment printing on backlit paper, scanner HP N6350, leds, text on paper, 90 x 50 x 10 cm
Lightening Ride, 2017, Vidéo full HD, 7'40''
♥ Paintings (wheresaddie), 2017, Huile sur Acer Liquid Jade Z, cordon de soie torsadé, 14,4 x 6,9 x 0,8 cm
Deliverance, 2017, exposition personnelle, Steve Turner, Los Angeles, USA (Lightning Ride, 2017; Denim, 2017; Chien-Loup, 2017; Oasis Max Life, 2017; Return of the Broken Screens, 2015 - 2017)
♥ Paintings (tconch), 2017, Huile sur Samsung Galaxy S4, cordon de soie torsadé, 13,6 x 6,9 x 0,8 cm
Return of the Broken Screens, 2015, Installation, vidéos, écrans détériorés, durées et formats variables (avec le soutien de la SCAM)
Lightning Ride, 2017, vidéo UHD, 7'40''
Denim (série), 2017, Jeans trouvés avec empreinte de téléphone, emballages sous-vide, supports muraux pour écran mobile, dimensions variables
Clé USB reçue par erreur contenant l’oeuvre La Liberté en écorchée – version longue d’ORLAN et saisie dans la glace par Laurent Pernot via www.matchart.net 2017, clé USB, porte-clés, neige et glace artificielles, certificat d’authenticité, 11 x 4,5 x 2,5 cm
Untitled SAS, 2015, Installation, société par actions simplifiées, dimensions variables, statuts, registre de mouvement de titres, documents divers
Untitled SAS, 2015, Installation, société par actions simplifiée, dimensions variables, statuts, registre de mouvement de titres, documents divers
Les Nouveaux chercheurs d'or, 2015-2016, Échantillons dorés gratuits, impressions sur Awagami Bamboo 170 g, dimensions variables
Les Nouveaux chercheurs d'or, 2015-2016, Échantillons dorés gratuits, impressions sur Awagami Bamboo 170 g, dimensions variables
Les Nouveaux chercheurs d'or, 2015-2016, Échantillons dorés gratuits, impressions sur Awagami Bamboo 170 g, dimensions variables
Nakamoto (The Myth), 2015, Vidéo full HD, 16/9, 4'40''
Ghost of your Souvenir, 2014-2016, Série d'autoportraits, Installation, collection de photographies trouvées en ligne, performance, tirages numériques sous Plexiglas, Dibond, 13 x 13 cm, 13 x 18 cm
Clichés, 2014, Film génératif, site web, 3'50''
Dérives, 2011-2014, Installation vidéo générative, Extrait de "La piscine" de Jacques Deray, 1968
Dérives, 2011-2014, Installation vidéo générative, Extrait de "Les dents de la mer" de Steven Spielberg, 1970
Google Earth Movies 2013, vidéo HD, 23’40’’
le Tour du monde en instantané, 2012-2013, (Capricorne), Digigraphie, papier Hahnemühle sur Dibond et châssis,120 x 67,5 cm
Bliss (La Colline verdoyante), 2013, Impression lenticulaire, caisson lumineux, 50 x 40 cm
Google Earth Movies, 2009 - 2013, Vidéo, Reconstitution de "Fellini Roma" de Federico Fellini, 1972
West Side Story 2, 2009 - 2013, Vidéo, Reconstitution de "West Side Story" de Robert Wise, 1960
Cutting Grass, 2013, Site web, vidéo
Duo d’artistes, Française et Franco-Luxembourgeois, né·es en 1984 & 1982, vivent et travaillent à Paris.
Émilie Brout & Maxime Marion ont commencé leur collaboration à l’École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris. Leur travail a intégré des collections telles que les FRAC Ile-de-France ou la fondation François Schneider, et a notamment été diffusé au Palais de Tokyo, à la Gaîté Lyrique, au BANFF Centre for Arts and Creativity et à l’auditorium du Louvre.
Il a également été présenté lors de la Triennale de la jeune création du Casino Luxembourg (2021), la 5th Moscow Biennale for Young Art (2016) et de nombreuses expositions collectives, dont au BPS22, Bruxelles ; Villa Arson, Nice (2022) : Supercollider, Los Angeles ; Granit - Scène Nationale de Belfort (2021) ; Haus der Kulturen der Welt, Berlin ; Centre Culturel Canadien, Paris ; Centre d’art contemporain de Malakoff (2020) ; Prix Sciences Po pour l’art contemporain, Paris ; MAC VAL, Vitry-sur-Seine (2019) ; Redline Contemporary Art Center, Denver ; Maison Populaire de Montreuil (2018) ; Le Loft - Collection famille Servais, Bruxelles (2017) ; OCAT Shenzhen ; IAC Villeurbanne ; Carroll/Fletcher, Londres (2016) ; MAC Créteil ; Seongnam Art Center (2015).
Iels ont bénéficié d’expositions personnelles notamment à 22,48 m², Paris (2013, 2015, 2017, 2019, 2021) ; La Chaufferie, HEAR, Strasbourg ; Pori Art Museum (2019) ; Villa du Parc, Annemasse (2018) ; Steve Turner, Los Angeles (2017).
La démarche développée par Émilie Brout & Maxime Marion depuis une dizaine d’années s’articule largement autour de liens et de rencontres opérées entre archétypes issus de l’histoire de l’art (de la Pré-Renaissance au cinéma) et de la culture visuelle contemporaine – notamment celle du web. Cette pratique s’appuie sur un travail approfondi de recherche et d’iconographie venant nourrir des pièces à la fois critiques et émotionnelles, qui intègrent dans leurs modalités de production mêmes les spécificités économiques, politiques et sociales induites par les différents registres esthétiques qu’elles convoquent. Iels visent à inscrire de l’incarnation dans leurs champs d’intervention, et ce le plus souvent au moyen d’approches narratives ouvertes, non linéaires et non héroïques. Avec la vidéo comme médium de prédilection, iels cherchent à repousser les limites des formats que nous manipulons, voire à en inventer de nouveaux. Leurs pièces comportent ainsi souvent une dimension hybride, ambigüe, tant au niveau de leur contenu que de leur matérialité ou de leurs multiples contextes de réception : une mise en crise de l’image, provoquant une sensible dissonance entre puissance narrative et dévoilement perceptible des mécanismes de production en jeu.
VIDEOS
(sélection)
Lightning Ride, 2017, vidéo, 7’40’’
Google Earth Movies, 2013, vidéo HD, 23’40’’