Vue d'exposition
Territoire des stades, 2013, photomontage Google Earth, tirage numérique, bois, 160 x 120 cm
Vue d'exposition
Bosquet 5, diptyque, 2013, porte-mine 0,3B sur Canson blanc, 40 x 40 cm x 2
La vue, série de 26, depuis 2012, café soluble sur sous-tasses en porcelaine, dimensions variables
Barbelé, série de 26, depuis 2012, café soluble sur sous-tasses en porcelaine, dimensions variables
Fruits, série de 26, depuis 2012, café soluble sur sous-tasses en porcelaine, dimensions variables
Eiffel, série de 26, depuis 2012, café soluble sur sous-tasses en porcelaine, dimensions variables
Vue d'exposition
Vue d'exposition
Survol 1 (paysage Eiffel), 2013, porte-mine 0,3B sur Canson blanc, 30 x 30 cm
Survol 1 (paysage Eiffel) (détail), 2013, porte-mine 0,3B sur Canson blanc, 30 x 30 cm
Grandes Montagnes Russes, 2012, porte-mine 0,3B sur Canson blanc, 60 x 48 cm
Vue d'exposition
Hublot #1, 2013, installation vidéo sur écran (cache noir sur écran), dimensions variables
Hublot #1, 2013, installation vidéo sur écran (cache noir sur écran), dimensions variables
Hublot #1, 2013, installation vidéo sur écran (cache noir sur écran), dimensions variables
Hublot #1, 2013, installation vidéo sur écran (cache noir sur écran), dimensions variables
Vue d'exposition
#25
Géraud Soulhiol
LA VUE
Exposition personnelle
Texte d'Umut Ungan
15/11/2013 -21/12/2013
Faisant référence au poème de Raymond Roussel du même nom dans lequel, regardant le petit paysage de plage inscrit dans la bille en verre de son porte-plûme l'écrivain décrit les scènes qui s’y déroulent et se laisse porter par son imagination, "La Vue" propose un ensemble hétéroclite des travaux de Géraud Soulhiol. A travers différents médias (dessin, photomontage, installation vidéo) et supports, ces derniers dessinent une constellation plastique cohérente concernant les recherches récentes de l'artiste autour de la question de la représentation des "territoires fantasmés" et "univers flottants". Se situant toujours au seuil d'une certaine intelligibilité et d'opacité, les différentes "visions" de Géraud Soulhiol, qu'elles prennent pour point d'appui le paysage, l'architecture ou encore la carte géographique, ont pour ambition d'installer le regard du spectateur dans une zone vague, qui se nourrit d'un va-et-vient constant entre l'œil habitué des formes et l'attention particulière qu'exigent les détails qui disloquent la "vue". (Umut Ungan)